mardi 2 août 2011

Moins de 1 Million de dollars de Capital IDG pour simplifier le partage de fichiers soulève

Rip Empson, est un écrivain à TechCrunch. Il n'est pas ici pour faire des amis, il est là pour gagner et ne vous oubliez ?a. Vous pouvez le joindre à rip [at] techcrunch [dot] com → pour en savoir plus

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Basée à New York partage de fichier de démarrage, Minus, a annoncé aujourd'hui qu'elle a soulevé un million de dollars en financement de démarrage de IDG Capital Partners, dont le démarrage envisage d'utiliser pour élargir son équipe et d'investir dans la technologie et l'infrastructure dans le but de créer une simple et universel de partage d'expérience pour ses utilisateurs.

Il existe une pléthore d'outils là-bas, on peut utiliser pour partager des fichiers, de Skype pour les e-mails, d'échange, Box.net et Ge.tt à WeTransfer. La liste est longue. Nous avons couvert Sendoid quelques mois en arrière, un grad Y Combinator, offrant une solution fra?che de peer-to-peer, basée sur un navigateur. à la lumière d'un espace encombré, Minus' proposition de valeur est qu'il fonctionne sur n'importe quel périphérique connecté au web et qu'il prend en charge de presque tous les types de fichier, vous pouvez penser.

Avec Minus, les utilisateurs peuvent rapidement et facilement partager photos, documents, musique, vidéos, etc., simplement en visitant Minus.com et en faisant glisser le fichier qu'ils veulent transférer sur la page d'accueil. Une fois les téléchargements de fichiers, l'utilisateur re?oit un shortlink, ils peuvent ensuite partager sur Facebook, Twitter, Google +, dans un courriel, conversations IM et plus encore. Minus est également libre d'utilisation et ne requiert pas aux utilisateurs de s'inscrire afin de télécharger et de partager des fichiers.

Que dit, alors que les utilisateurs peuvent profiter des téléchargements illimités et téléchargements sans enregistrement, il y a 25 MB par la limite de fichier. Si l'on enregistre et signe en, qui est libre, la limite de remontées mécaniques à 100 Mo par fichier. Moins fondateur et CEO John Xie me dit que, comme le démarrage des échelles et gagne ses pattes sur le backend, les plans de l'équipe d'augmenter que limitent encore plus. (Le site lancé en version bêta privée en octobre).

Mais ce qui est utile sur moins est, au-delà de la simple shortlink partage (min.uses), que vous pouvez faire glisser des 100 fichiers à la fois dans l'interface web et laissez-les simultanément upload. Bien que vous ne peut envoyer des fichiers gigantesques, et avec la limite de 100 MB vous probablement n'être télécharger des vidéos longues, un utilisateur pourrait probablement télécharger et partager des centaines d'images et ensuite donner ces liens à quelques centaines de personnes à consulter et à télécharger. (Minus a également une fonction de ? Télécharger comme zip ? qui zips vos liens pour vous à la volée. Exemple ici.)

Xie m'a dit que, au-delà de priorisation mise à l'échelle, l'équipe veut garder moins simples, en UX et l'interface utilisateur et continuer à se concentrer sur l'aspect de partage de la plate-forme. Puisque Minus est axée sur les nuages, les utilisateurs enregistrés peuvent créer un profil afin qu'une fois qu'ils téléchargement leurs images, de documents, etc., elles sont hébergées sur moins de la même fa?on, Flickr, Dropbox, Scribd et tant d'autres le faire. Vous pouvez consulter un exemple de page du Xie fichiers hébergés ici.

Et, depuis le lancement, de Minus a vu quelques bonne traction. La plate-forme est actuellement 50 millions de téléchargements chaque mois, selon le Xie et a juste au nord de 500 000 utilisateurs actifs mensuels. De plus, bien que moins peut pénétrer dans un espace encombré avec beaucoup de concurrence à venir, clairement détermination de l'équipe est il : initialement hébergé sur le domaine de la Min.us, l'équipe récemment acheté le domaine Minus.com pour environ 115 000 $. Donc, pour ceux qui espèrent un Google-, vous aurez à chercher ailleurs, Minus n'est pas bouge.

Pour les curieux quant à ce qui est mise sous tension backend nuageux du démarrage : la plate-forme est construite sur HTML5 et déployée sur Django pile sur Amazon EC2/S3, et l'équipe construit actuellement leur propre solution personnalisée de CDN pour desservir la bande passante nécessaire. Les développeurs sont les bienvenus.

Minus est actuellement disponible pour Windows, Mac, et Ubuntu sous forme de bureau app, a des extensions de Chrome et de Firefox, mais aussi une app de Chrome et est disponible sur mobile pour Android. IOS mobiles et applications Windows sont actuellement en version bêta, avec mises à jour à venir. Plus sur apps ici.


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